samedi 18 août 2012

#Catastroika, le pique-nique des vautours.


Parmi les mesure exigées par la troïka (Commission européenne-Banque centrale européenne-Fonds monétaire international) à la Grèce en échange des prêts qu’ils ont bien voulu lui consentir afin de rembourser sa dette publique, il y a la privatisation d’une grande partie de son patrimoine public. Du port du Pirée aux centrales électriques, des chemins de ferà l’eau potable, les autorité grecques sont sommées de liquider les possessions de l’Etat. Et par la même occasion, de mettre en place les politiques d’ouverture des marchés prônées par Bruxelles qu’elles ont renâclé à réaliser ces dernières années. Mais est-ce la la meilleure solution pour renflouer les caisses de l’Etat ? 

Lire la suite dans: Grèce, une "Catastroika" annoncée 
via @syaume

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