Parmi les mesure exigées par la troïka (Commission
européenne-Banque centrale européenne-Fonds monétaire international) à
la Grèce en échange des prêts qu’ils ont bien voulu lui consentir afin
de rembourser sa dette publique, il y a la privatisation d’une grande
partie de son patrimoine public. Du port du Pirée aux centrales
électriques, des chemins de ferà l’eau potable, les autorité grecques
sont sommées de liquider les possessions de l’Etat. Et par la même
occasion, de mettre en place les politiques d’ouverture des marchés
prônées par Bruxelles qu’elles ont renâclé à réaliser ces dernières
années. Mais est-ce la la meilleure solution pour renflouer les caisses
de l’Etat ?
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via@syaume
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