Patrice Millet aurait, lui aussi selon eux, une part de responsabilité, mais financière. « Messieurs Moynier et Millet, le logement social, ce n’était pas leur tasse de thé, commente Jean Fabre, mais ils avaient la main mise sur cet OPH, c’était leur chose. A l’époque, l’office, c’était une armée mexicaine avec une gestion au jour le jour et des finances qui allaient à vau-l’eau. Plutôt que de donner des conseils aujourd’hui, Solange Millet aurait mieux fait d’en donner à son mari à l’époque… »
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